A croire que la musique n’adoucit pas forcément les mœurs, oh la la, qu’entends-je ? Qu’ouïs-je ? Eh bé, je n’arrivais pas à le croire.
En premier lieu, je voulais vous dire que le blog était ouvert à tout le monde. A ceux qui aiment les smileys ou non, la musique ou non. Après tout, on peut ou non faire abstraction de tout pour lire le texte. Donc tous et toutes vous êtes les bienvenus dans ma blogitude qui ne doit pas devenir une solitude.
Et maintenant,
En plus, lorsqu’on défend une idée, on va jusqu’au bout de cette idée faute de quoi, la démonstration n’est pas complète et donc le jugement faussé.
Vous voulez des exemples de contaminations faites passivement, donc à l’insu des gens ? Et bien je peux vous en donner tant et plus :
- Le tabac qui emplit vos poumons et ceux des autres par une fumée nocive et toxique, donc frais pour la sécu
- Le Sida (n’en déplaise à Molière) où l’Infidèle qui a fait ses petites ou grandes frasques sans se protéger va inséminer son(sa) partenaire à son insu, donc frais pour la sécu.
- La voiture où vous passez passivement de vie à trépas sans vous en rendre compte parce qu’un abruti n’a pas respecté le code. Donc frais pour la sécu et la société.
- Les E235 et E242 cancérigènes que l’on distribue à votre insu dans votre alimentation. Donc vous vous empoisonnez passivement. Donc, frais pour la sécurité sociale
- Gaz des voitures et des usines que vous respirez passivement car on ne peut vivre sans respirer et donc encrassage de vos poumons à votre insu. Donc frais pour la sécurité sociale
- Amiante, goudron, respirés dont l’inhalation a des causes semblables à celles décrites plus haut. Etc etc etc.…
Tous ces dangers que nous courrons tous les jours devraient nous être indiqués par des étiquettes sur les usines, les voitures, l’alimentation, et le crétin qui veut respirer ou simplement se nourrir, s’il tombe malade, ne devrait avoir aucun secours de
Mais voilà, au lieu de s’attaquer à tous les problèmes qui nous empoisonnent au sens propre et au sens figuré, nous faisons des abcès de fixation au gré du temps. Aujourd’hui, c’est le tabac, demain ce sera la viande, après demain ce sera l’alcool. Donc on a le choix.
En ce moment, on a déjà droit à la lutte pour le pouvoir, maintenant la lutte pour ou contre les fumeurs, pour ou contre les animaux en ville, pour ou contre les gros, les maigres, les noirs, les blancs, les chauves, enfin, on s’occupe. Et bien, je ne dirai qu’une chose, pauvre France ! Et encore une fois, à force d’interdire, je crois que la meilleure solution serait que tout le monde reste chez soi, y fasse ce qu’il veut, enfin, si on peut encore. Ce sera mon dernier mot.
PS : à tous ceux qui ne me trouvent pas assez drôle, je dirai qu’il n’y a pas grand-chose de drôle dans le sujet que je viens d’aborder. Mais rassurez-vous, pas drôle ne veut pas dire triste, ni dépressive, juste clairvoyante sur certains sujets.