22 mai 2008
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13:35
Hier j'ai essayé de voir combien de personnes allaient être choquées par ma grossière erreur"volontaire" de conjugaison..
En dehors de la "douce" mercuriale de st Baldoph, et la réponse teintée d'humour de Craquotte, mon erreur n'a interpellé personne.
Cela ne m'étonne qu'à moitié pour ne pas dire pas du tout.Le monde est devenu si peu attentif et si nul qu'on peut écrire ou dire n'importe quelle énormité sans que cela choque le moins du monde.
Ce constat est très amer,et il montre une fois de plus que la France ne demande pas de petites réformes mais un grand bouleversement pour essayer , d'une manière un peu plus moderne certes, de rétablir un semblant de culture, de conscience, de civisme.
Mais il paraît que ces objectifs n'ont plus droit de cité rappelant une France que tout le monde déteste maintenant que nous avons goûté au "tout permis" à"l'interdit d'interdire" qui veut dire la même chose, au luxe, au non-travail etc....
Donc avant de me faire lapider ou pendre haut et court , j'arrête là.Mon petit t'est ne m'a servi qu'à me conforter dans l'idée que je me fais de notre beau pays.
En dehors de la "douce" mercuriale de st Baldoph, et la réponse teintée d'humour de Craquotte, mon erreur n'a interpellé personne.
Cela ne m'étonne qu'à moitié pour ne pas dire pas du tout.Le monde est devenu si peu attentif et si nul qu'on peut écrire ou dire n'importe quelle énormité sans que cela choque le moins du monde.
Ce constat est très amer,et il montre une fois de plus que la France ne demande pas de petites réformes mais un grand bouleversement pour essayer , d'une manière un peu plus moderne certes, de rétablir un semblant de culture, de conscience, de civisme.
Mais il paraît que ces objectifs n'ont plus droit de cité rappelant une France que tout le monde déteste maintenant que nous avons goûté au "tout permis" à"l'interdit d'interdire" qui veut dire la même chose, au luxe, au non-travail etc....
Donc avant de me faire lapider ou pendre haut et court , j'arrête là.Mon petit t'est ne m'a servi qu'à me conforter dans l'idée que je me fais de notre beau pays.