Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

PrÉSentation

  • : C'est ça la France
  • : L'opinion d'une française moyenne sur la politique et les problèmes de société dans notre beau pays.
  • Contact

Texte libre

Recherche

29 juillet 2008 2 29 /07 /juillet /2008 17:57

Oh combien de sportifs, des centaines et centaines
Qui sont partis joyeux pour des contrées lointaines
Dans cette immense chine à l'atmosphère pourrie
Combien seront élus, et auront la fortune
De glaner des médailles, c'est demander la lune
Pour ces jeux olympiques impossible pari
                    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Dans un grand défilé, en grand aéropage
Ils essaieront au monde de donner une image
D'eux-mêmes la meilleure, et donneront le gage
D'être honnêtes avant tout sans "corruptionnage"
Etre au top non dopés, arbitres non rongés
Par l'ambition ,la place,des chinois surgonflés
                    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues
Au moral l'Etat Chine est une sombre étendue
Vous n'étiez pas curieux face à cette inconnue
Cette Chine lointaine de tous les grands mystères
Pays sans liberté, comme d'autres sur terre,
Mais pour vous peu importe que l'on soit sans vertu
                      °°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Et encore si par chance nous avons des médailles
Acqueries justement c'est un challenge de taille
Alors pourrons rentrer fiers de la grande bataille
Mais en se demandant, fallait-il que j'y aille ?
Passé le militant grand défenseur de l'homme
Le sport ne veut pas voir extérieur ou tout comme.
                    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
De l'argent de la gloire cela seul intéresse
Ces nouveaux grands champions, mais les gens en détresse
Seulement quand il peut, pendant la grande messe
De la télévision pour montrer sa tendresse.
Cela lui coûte peu, juste se vendre un peu
Se donner bonne conscience, mais oui cela se peut.
                    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Et voilà où sont-ils nos valeureux guerriers
Se devrait être là qu'ils se classent premiers
Lorsque vous rentrerez, ou penauds ou altiers
Vous laisserez derrière, ce grand pénitencier
Pauvres minorités aux chants désespérés
Qui attendent mais en vain d'être un jour libérés.

Partager cet article
Repost0

commentaires

C
Je n'ai pas grand chose à dire sur cet évènement sportif interplanétaire sinon qu'on aurait du "virer" et interdire à vie l'accès aux JO à ce Monsieur qui a "donné" les JO à un pays qui ne respecte pas les droits de l'homme.La polémique qui court depuis des semaines n'existerait pas si il avait pris en compte cette composante des dirigeants chinois Maintenant que le mal est fait et quels que soient les problèmes des droits d l'homme dans ce pays, je pense qu'il faut prendre en compte le peuple chinois et l'enorme effort qu'il a du accompir pour être prêt pour ces jeux  ( que ce soient les ouvriers ou les sportifs ) A cause de lui la fête sportive que sont les jeux sera obligatoirement gâchée , tout comme l'a été la route de la flamme olympique. Honte à Monsieur Samaranche !
Répondre
D
Bonjour, Afin de faire avancer le débat sur les JO de Pékin, je viens de créer<br /> une communauté dédiée à cet événement. N'hésitez pas à nous rejoindre. http://www.over-blog.com/com-1055858682/Jeux_Olympiques_de_Pekin.html
Répondre
S
A propos du baron Juan Antonio Samaranchparu dans l'Huma le 2 septembre 1994LE chef d’orchestre du concert sportif international est un personnage qui compte. Avec sa carrure de chef d’Etat, musclée par 194 comités nationaux olympiques reconnus de par le monde, ses allures de patron de multinationale (la fortune du CIO était estimée à environ 730 millions de francs en septembre 1993), Son Excellence Juan Antonio Samaranch, élevé au rang de baron par le roi Juan Carlos d’Espagne pour services rendus à la nation, est un homme respecté. Est-il respectable pour autant ? C’est ce qu’ont cherché à savoir deux reporters du quotidien « el Pais », Jaume Boix et Arcadio Espada, auteurs d’une biographie du successeur de Pierre de Coubertin, « le Sport du pouvoir… », dont la traduction, enrichie par Raymond Pointu, journaliste à l’AFP et ancien membre de la commission presse du CIO, vient de paraître en France (1).S’appuyant sur de nombreux documents d’archives et divers témoignages, l’ouvrage égratigne sérieusement l’auréole du vénérable M. Samaranch, qui brigue, sans l’avouer, le prix Nobel de la paix en cette « année internationale du sport et de l’idéal olympique », selon les termes de l’ONU. En 192 pages sèchement couchées sur le papier, le trio retrace en effet le parcours sinueux de ce fils d’un riche entrepreneur du textile qui fut tour à tour adjoint au maire de Barcelone, chef des sports de la délégation provinciale de la Phalange et des Jeunesses phalangistes, responsable de la Délégation nationale aux sports et président de la province de Catalogne sous le régime fasciste de Franco. Avant d’être propulsé, après la mort du Caudillo, ambassadeur d’Espagne en URSS de 1977 à 1980, date à laquelle il accéda à la tête du CIO.En chemin, on en apprend des vertes et des pas mûres sur le compte de cet honorable dignitaire de soixante-quatorze ans. Boxeur à ses heures, le jeune dandy Juan Antonio Samaranch a usé ses fonds de culottes en satin comme entraîneur, dirigeant et chroniqueur de rink-hockey, appelé aussi hockey à roulettes. Ça, c’est pour le côté vitrine. Côté mondain, le monsieur a baigné dans les milieux aisés les plus noirs, s’attachant notamment la protection, bien utile par la suite, de l’amiral Carrero Blanco, fidèle d’entre les fidèles du Généralissime.Selon ses trois détracteurs, Samaranch n’aurait jamais eu la flamme d’un militant franquiste pur et dur. Il aurait été guidé avant tout par un opportunisme à toute épreuve. Reste un état de services peu reluisant si l’on s’en tient aux faits rapportés. En 1955, le futur grand timonier du CIO, alors vice-président du comité d’organisation des 2es jeux Méditerranéens organisés à Barcelone, ne badinera pas pour assurer la propagande d’un événement propre à légitimer le pouvoir franquiste au-delà des Pyrénées. Sous son autorité, les « commissions sur les publicités et les annonces », versées aux plumes influentes de la presse sportive, coulèrent à flots. L’année suivante, nommé représentant en Catalogne de la délégation nationale aux Sports, il ne manque pas de témoigner sa loyauté au ministre Antonio Elola. D’une lettre paraphée : « Toujours à tes ordres, je te salue le bras tendu. »Quatorze ans plus tard, en 1970, le « secrétaire d’Etat » aux Sports de Franco, qui vient d’être limogé, avouera : « Quand on est désigné du doigt, on peut également être limogé du doigt. » Malgré ce revers, Juan Antonio Samaranch conservera sa fidélité et son attachement au vieux dictateur avec qui il avait réveillonné en 1968. Au lendemain de la mort du Caudillo, en novembre 1975, le président de la province de Catalogne eut ces douces paroles : « Tout est fini et tout continue, car l’exemple de Franco accompagnera toujours notre effort… »Le cours de l’Histoire entamait pourtant un nouveau virage. Passé l’enterrement, il fallait bien se reconvertir. Le temps du « catalanisme », si longtemps réprimé, avait sonné. En créant le mouvement politique « Concorde catalane », Samaranch troqua l’uniforme pour la chemise blanche. Et au moment venu Adolfo Suarez, l’ancien directeur des programmes de la télé nationale désormais à la tête de la jeune démocratie, nomma le vertueux Juan Antonio au poste d’ambassadeur à Moscou, le 10 mai 1977. Trois ans plus tard, bénéficiant des voix des représentants des pays de l’Est, il réalisait enfin son rêve en prenant les rênes du CIO.Aujourd’hui, l’ex-franquiste renie allégrement son passé. Rares sont ceux d’ailleurs qui lui en font grief. Toutefois, pour la bonne bouche, les auteurs de cette biographie insolente rafraîchissent les mémoires : Mikhaïl Gorbatchev, par exemple, a toujours refusé de recevoir M. Samaranch. En 1991, alors que Barcelone se préparait à accueillir les JO, le prix Nobel de la paix, en visite dans la capitale catalane, snoba l’un des hommes les plus médiatiques de la planète sport.
Répondre
B
salutmes petits enfants arrivent demain matinalors je ne viendrais plus tous les jours ce mois d'aoûtmais je pense à tous les blogueuses et blogueurs qui passeront je n'en doute pas sur mon blog bonne soirée
Répondre

Articles RÉCents